Dans Les rois de la nuit, c'est Kull, le roi atlante de Valusie, qu'il appelle à son aide, mais dans Les vers de la Terre (que Lovecraft qualifiait de "chef-d'œuvre macabre" et qui est considéré outre-Atlantique comme l'une des meilleures nouvelles jamais écrites par Howard) c'est aux rejetons des Ténèbres et à de sombres maléfices qu'il a recours. Car Bran Mak Morn, l'un des héros les plus puissants de Howard, est aussi l'un des plus sombres et des plus désespérés. Pour lui, qui est le roi des ombres, des illusions et de la vanité des choses, seul compte l'instant présent : les ères se succèdent et l'oubli du Temps recouvre les hommes à jamais.
Extrait de la quatrième de couverture
• Préface, François Truchaud
• Avant-propos
• 7 nouvelles, dont :
- La race oubliée (The lost race)
- Les hommes des ténèbres (Men of the shadows)
- Les rois de la nuit (Kings of the night)
- Un chant de la race (A song of the race) [Poésie]
- Fragment (Fragment)
- Le crépuscule du dieu gris (The grey god passes)
N.B.: N°60 » Titre original (1969) : » Worms of the Earth
Les textes
Les vers de la terre