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Mes masques (retours, questions, ..)

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Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:21

  
Rapidement, doué pour l’infiltration, tireur d’élite, le jeune militaire franchit les échelons hiérarchiques, et, devenu lieutenant, il rejoint bientôt le front où il effectue de nombreuses opérations commando en compagnie des poilus français. Mais, face aux horreurs des tranchées et à la folie de la guerre, il décide de déserter. Lorsqu’il doit achever de ses propres mains son frère de combat Marcel Franchard, après que celui-ci ait eu les jambes arrachées par l’explosion d’un mortier allié pendant qu’ils effectuaient tous deux une mission d’infiltration en plein territoire ennemi, il quitte la France et rejoint clandestinement l’Egypte où il se mêle aux contingents anglais et français du Général Allenby.
Il participe aussi à l’offensive du 4 juillet 1918 contre Hamel, appuyant les soldats australiens qui, sous le commandement du Général Monash, s’emparèrent de la vie et firent près de 1900 prisonniers. L’opération fut un modèle de coordination de l’infanterie, de l’artillerie et de l’aviation.

Mais une rumeur prend naissance dans les sables du désert arabique, on parle de l’existence d’une cité mythique, Kor, la mère de toutes les villes, qui récèlerait tout le pouvoir d’objets antiques …
Steeve Sommers profite donc de sa présence sur place pour visiter quelques sites archéologiques (comme la Nécropole de Saqqarah par exemple) où, pilleur de tombes, il revend au marché noir de nombreuses reliques et objets antiques.
Sans attendre la fin de la campagne d’Egypte et de Syrie, il retourne en France et, clandestinement, usant de ses nombreux contacts noués en France et en Egypte, il devient « business man indépendant ».

1919, les cendres de la Première Guerre Mondiale sont encore tièdes.
Steeve Sommers vend désormais ses services contre monnaie sonnante et trébuchante, trafiquant d’armes, vendeur d’antiquités au marché noir. Il habite Paris et n’hésite pas non plus à offrir ses talents de détective pour retrouver des individus ou des objets de valeur disparus pendant la guerre …

C’est en 1924, au cours d’un dîner privé mondain organisé par un cercle d’amateurs d’art parisien, qu’il rencontre Mr. Whitesnake, un riche américain. Ce-dernier a entendu parler de lui et lui propose un emploi a durée indéterminée. Il a l’intention de créer dans la région de Boston son musée personnel d’objets surnaturels ; en échange d’un confortable salaire, Sommers devrait veiller à ce que ses acquisitions voyagent sans encombres !
Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:23

  
A 28 ans, Steeve Sommers, qui commence à s’ennuyer, saisit l’occasion. Les Etats-Unis vivent à l’heure de la prohibition, et il devrait pouvoir retourner à présent dans son pays pour en profiter. L’argent amassé en Europe, et sa réputation ici, allaient lui offrir le tremplin dont il avait besoin pour faire fortune là-bas...

Il accepte l’offre de Whitesnake et rencontre alors Arthus de Kerouac, un rat-de-bibliothèque français. Récemment embauché lui aussi par l’homme d’affaires, le français se révèle être un survivant de la Grande Guerre comme lui, vétéran du chemin des dames reconverti dans le commerce et la recherche de reliques profanes. Âgé de 34 ans, l’homme court le monde, loin de la folie du monde occidental, pour étancher sa soif de connaissances archéologiques et oublier la folie de la guerre et la boucherie des tranchées.
Ils regagnent tous deux Boston par bateau, en profitant pour faire connaissance.
Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:26

  
ARTHUS DE KEROUAC ( 1891 – xxxx )



Arthus de Kerouac a 25 ans lorsque la grande guerre éclate. Issu d’une ancienne famille bretonne, il a pendant son adolescence parcouru les landes du ponant, la tête remplie des légendes celtiques qui ont bercé son enfance. Ce goût pour la petite histoire l’amène à 18 ans, son baccalauréat en poche, à poursuivre des études d’histoire du Moyen-Âge à Paris.
Il devra cependant patienter trois ans avant de faire ces universités, puisque que vient l’âge de la conscription ; il doit passer par la case militaire. Son niveau d’étude lui permet de passer des concours d’officier qui l’amène au grade de lieutenant dans l’infanterie.
Pendant ces trois années, le jeune homme apprend le maniement des armes et la conduite de véhicules à moteur et le prestige de l’uniforme sur la gente féminine.
Libéré enfin de ces obligations militaires, Arthus entre enfin à l’université. Comme il faut bien faire bouillir la marmite, sa famille étant quelque peu désargentée, il trouve un emploi d’assistant chez un antiquaire, vieil ami de son père. La galerie du marchand d’art, située entre Saint Germain et Notre Dame expose principalement des oeuvres que l’on retrouverait de nos jours au Musée du Quai Branly : Masques africains, Idoles Inuit, statuettes rituelles de Bornéo, trésors égyptiens, antiquités incas, …
Chaque heure passée dans cet endroit est pour Arthus une invitation au voyage, qui du coup abandonne l’étude de l’histoire après un trimestre, pour se passionner pour l’histoire de l’art et l’archéologie.
Il profite de l’été 1913 pour se rendre en Egypte, en tant qu’assistant de l’égyptologue Pierre Lacau sur la nécropole de Saqqarah. Le jeune Arthus est émerveillé par les trésors et les mystères que renferme ce site et est enthousiasmé par l’ambiance de cette communauté internationale de chercheurs qui réside au Caire. Il y fait la connaissance de Lisebeth Cornwell avec qui il vit sa première vraie relation sentimentale. Ce séjour qui devait durer 3 mois, Arthus le prolonge jusqu’au printemps 1914.

De retour en France, la guerre gronde, Arthus est mobilisé. La folie de la guerre et la boucherie des tranchées resteront à jamais gravées en lui. Pendant cette période effroyable, où il frôle la mort à plusieurs reprises et perd des fragments de son humanité, Arthus se fait la promesse, s’il survit au carnage, de repartir loin de la folie du monde occidental pour courir le monde et étancher sa soif de
connaissances archéologiques.
Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:28

  
MARVIN O’DONNELL ( 1886 - xxxx )

Marvin est né à Chicago dans une famille fort aisée de la ville. Son père, un des notables du coin et figure de l’Irish spirit, était l’un des chefs de la police. Il était réputé pour sa dureté et son ardeur au travail. En outre, le frère de sa mère (donc son oncle) était un général 5 étoiles de l’Armée de Terre : Le mariage de ses parents était donc l’union de 2 familles riches et réputées de Chicago, et la famille s’installa rapidement dans une maison très chic du quartier de Lincoln Park.
Marvin a une grande soeur, Sarah, de 3 ans son ainée, mariée avec un promoteur immobilier en charge de la construction des nouveaux buildings le long de Michigan Avenue … La classe !
L’enfance de Marvin aurait pu être fort différente sans l’éducation très dure de son père, et surtout la mort malheureuse de sa mère alors qu’il n’avait que 3 ans … lors de la Saint Patrick … Cela n’avait jamais été très clair, elle serait tombée du haut d’un chantier (Marvin en conclura bien plus tard qu’il aurait pu s’agir d’un suicide).

Marvin était un enfant éveillé et fort doué … L’éducation dans les meilleures écoles de la ville n’aurait dû que confirmer ou améliorer ses dons innés … Mais élevé par une soeur austère et un père très ferme, Marvin s’était très vite transformé en garçon rebelle, bagarreur et assez dilettante … Il fut renvoyé de toutes les écoles, jugé trop incontrôlable.
Faute de mieux et avec l’aide de Papa (qui dut mettre un mouchoir sur les ambitions qu’il avait pour son fils), il entra dans la police de Chicago comme inspecteur en 1907. Contre toute attente (il en fut le premier surpris), ce travail le passionna et, passant des moeurs aux criminels, il se fit une excellente réputation de détective, intuitif, coriace, assez droit et « rentre dedans » … Il résolut maintes affaires de toute sorte et s’établit dans Chicago un solide réseau parmi les forces de l’ordre, les putes, les journalistes et la mafia …
Il aurait d’ailleurs pu faire une grande carrière (sur les traces de son père) s’il n’avait pas eu ce foutu caractère d’insubordonné et de bagarreur féroce avec un peu d’alcool dans le sang … Il cassa plus d’un nez ou une mâchoire de suspect, voire de collègues … Il resta donc inspecteur principal sans aucun espoir de promotion … Et cela lui allait très bien comme ça … entre 2 cuites ou 2 paris sur le baseball …
Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:29

  
Marvin ne partit pas pour la Grande Guerre, car membre de la police de Chicago.
Lorsque son père se suicida le 13 Septembre 1917, il fut extrêmement affecté … Il ne pourrait plus jamais « normaliser » ses relations avec son paternel … Plus troublant, la lettre d’adieu de son père mentionnait une situation privée intenable, un mensonge d’une vie qui ne pouvait plus être caché … En enquêtant de son côté, Marvin découvrit que son père avait une double vie et entretenait une relation homosexuelle avec un gigolo (Bobby Palama dit ‘Beau Pâle’) ; ce dernier le faisait chanter depuis des années … Du fric, des passes-droits, des biens en nature, la facture était de plus en plus salée pour le pauvre vieux … Il avait préféré en finir pour arrêter la spirale infernale … sans penser ou oser en parler à son fils … Ecoeurant.

Le 13 Septembre 1918, on retrouva Bobby la gueule défoncée et les couilles écrasées à coup de barres de fer dans un des nombreux chantiers de building de la ville à deux pas de Michigan Avenue. Sept mois plus tard, une fusillade éclata dans un bar malfamé du Loop de Chicago : 4 morts par balle (au canon scié et au colt 45), dont le responsable de l’établissement, un mac notoire du milieu homosexuel … Plus un blessé sérieux, l’inspecteur O’Donnell.
Officiellement, l’inspecteur enquêtait sur un réseau de prostitution et de contrebande et s’était retrouvé piégé dans un guet-apens … Officieusement, on retrouva chez le mac un dossier sur le père O’Donnell et des notes indiquant qu’il fallait commencer à faire cracher le fils …
Par égard pour le clan O’Donnell, l’histoire fut étouffée avec l’art et la manière, et Marvin « fut démissionné » le 6 Juin 1919.
Après quelques mois de trou noir, Marvin décida pour payer les factures, les bouteilles et les paris, de s’installer à son compte comme privé, histoire aussi de faire les seules choses qu’il savait à peu près bien faire : dérouiller les emmerdeurs, bastonner les coriaces, suivre les trous du cul, retrouver des paumé(e)s, interroger les putes et les maris trompés …

Bref, faire une bonne action de temps en temps avec ses poings, son flingue … ou avec tout simplement une bonne bouteille de
30 ans d’âge … A votre santé !
Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:31

  
Alastar o Galachoar:

Prêtre illuminé née en 1885, originaire d'un petit village Irlandais, Alastar O. Ghallachoir cache un sombre et profond secret derrière sa façade d'homme de foi.
Ce fut à l'âge de 8 ans qu'Alastar fut abandonné par ses parents, qui peu de temps après l'avoir déposé aux portes de l'un des nombreux orphelinats catholiques de Wesport, s’ôtèrent la vie. C'est en s'immolant par le feu, hurlant aux passants terrorisés et ce jusqu'à leur dernier souffle, que leurs âmes devaient être purifiées, que ses parents trouvèrent le repos éternel. Implorant jusqu'à la toute fin le pardon du seigneur de n'avoir eu la force et le courage de faire ce qui devait être accompli.
De sa vie avant l'orphelinat Alastar ne conserve, si ce n'est d'avoir appartenu à une famille semble toute nombreuse, que de vagues et sombres souvenirs. Encore aujourd'hui, il lui arrive assez fréquemment, de se réveiller hurlant nuit après nuit, assaillit par de terrifiantes et puissantes visions, de sombres et horrifiques cauchemars, souvenirs et cicatrices profondes d'une vie passée dont son esprit arrive encore à occulter la majeure partie.
Son enfance ne fut pas ce que l'ont peu appeler des plus heureuses, rejeté, délaissé, devenu le souffre douleur de ses camarades. Il ne trouva compassion et amour qu'auprès de l'un des prêtres en charge de leur éducation. L’Homme de dieu voyant que l'enfant ne convenait ou ne parvenait jamais à convaincre les nombreuses familles se présentant à l'orphelinat, le pris sous sa protection l’éduquant et lui enseignant le latin entre autre… Alastar ce prit d'amour pour cet homme, et vis en lui le père dont il n'avait souvenir. Mais plus grand encore était l'amour qu'il portait au livre saint, parole de vérité à ses yeux.
Alors que la Grande guerre faisait rage, Alastar âgé a cette époque de 32 ans et peu de temps après avoir été ordonné prêtre se porta volontaires en 1916, estimant que sa place se trouvait sur le front, là ou la souffrance et la douleur étaient grandes et nécessitait à ses yeux la présence de Dieu. Alastar se retrouva rapidement et selon ses souhaits dans la térrifiante guerre des tranchées, là où Satan et la folie avaient pris place dans le cœur et l'esprit des hommes. Ainsi couvert de sang au milieu de la barbarie humaine, piétinant les cadavres des défunts, octroyant les derniers sacrements aux malheureux soldats irlandais combattant encore pour la couronne d'Angleterre et prêts à rejoindre notre créateur, que pour la première fois sa foi en notre seigneur fut ébranlée, devant l'horreur et l'ignominie des combats.
Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:33

  
Mais plus encore, ce fut lors de cette terrible nuit où il se réveilla hurlant, pris d'une frénésie meurtrière, les mains couvertes de sang… le sang de ses camarades morts à ses pieds, une baïonnette dans la main droite et un modèle standard d'arme de poing de l'armée de sa Majesté à la gauche, qu’Alastar constata que l'étui de l'officier qui commandait l'escouade, avec laquelle il avait partagé la veille les maigres rations de combat, était vide. Pour la première fois son esprit vacillât. Du moins la première fois qu’il se souvienne.
Personne ne le soupçonna jamais, lorsqu'il fut retrouvé errant en plein no Mans land, le regard perdu dans le néant, son habit d'Homme d’église souillé, implorant que Dieu lui vienne en aide récitant sans cesse les versets des Saintes Écritures, suppliant le seigneur de guider ses pas dans la compréhension et la rédemption des actes dont il fut le témoin et l'auteur.
Personne ne le soupçonna... Mais au plus profond de son âme, Alastar s'accrochait désespérément à sa foi luttant contre les ténèbres qui menaçaient d'engouffrer son entendement dans le néant.
La guerre prit fin, comme toutes les guerres, et de retour aux pays Alastar se fit confier l'église de son village natal... il vit en cela, du moins sans convainquit que le seigneur lui envoyait un signe dans la le pardon de ses péchés.
Malgré les services corporels qu'il s'infligeait, ce flagellant, dans l'espoir du salut de son âme, seul dans la nuit, dans la solitude de sa chambre, alors que tous dormaient dans le village.
Taro_d_zbel

le 21.12.2012
à 17:33

  
Alastar attachait une réelle importance dans l'exécution des tâches qui lui incombaient, espérant être la lumière de nombreux des paroissiens qui semblaient avoir quitté les voix du seigneur pour rejoindre un étrange ordre ésotérique dont les croyances lui étaient inconnues. Du moins jusqu'au jour ou son village fut attaqué, pris d'assaut par des ombres sans nom, sorties tout droit des profondeurs de l'océan... Alastar échoua à protéger qui que ce soit. Refusant et craignant de prendre à nouveau les armes, terrifié de ce qu'il pourrait advenir, il pria longuement dans son église dans l'espoir et l'attente d'une quelconque aide divine, qui ne parvint jamais, tandis que les habitants se faisaient, massacrer, dévorer dans la nuit sans qu'il ne fît rien.
Ce n'est que lorsqu’il se décida à quitter le chœur de son église, là où il s'était lâchement réfugié de la vision des horreurs de la nuit, ouvrant ainsi à nouveau les portes de l'édifice à la lumière du seigneur qu'il aperçu pour la première fois ce symbole blasphématoire, cette étrange pentagramme dessiné à la hâte sur les portes de son église, surement a l'aide du sang d'un des malheureux villageois, comme un acte se défie a la Gloire de dieu.
Depuis ce jour, il doute de lui-même mais craint aussi que Dieu ne l'ait abandonné. Il sait qu'un jour, il devra faire face à ses propres démons et qu'il devra choisir entre accepter de prendre les armes et lutter contre le mal qui corrompt notre monde ou finir sa misérable vie dans la peau d'un couard, d'un ignoble lâche.
Ayant fui en Amérique il erra en quête d'un signe divin, lui permettant de racheter ses fautes et ses péchés. Il se montre quelque peu rustre et ne supporte pas ou peu le contact physique. Il serait presque normal s'il se lavait plus souvent, ou apprenait l'existence des rasoirs, cessait de compulser des grimoires moisis a la recherche de réponses qui ne venaient pas.
Il vit retiré, dans une église à l'abandon, vivant de mendicité ou délectant de son fameux ragout de rats qui si souvent remplis son estomac dans l’horreur des tranchées… Parfois, le Dr Singer vient déposer de la nourriture ou un peu d'argent, voyant en lui un homme de valeur… mais pour qui la vie ne fut pas facile. Depuis peu il reçoit la générosité d'un certain Whitesnake, un bourgeois de Boston qui essaye de l'aider à remonter la pente .. Mais le souhait-il vraiment ?
Taro_d_zbel

le 19.01.2013
à 13:17

  
Ça y est, la campagne a été lancée cette nuit, une session de jeu qui a duré jusqu'à près de 5 heures du mat!

Au programme, hésitations devant la porte 410 suivie par défonçage de porte et bagarre dans la chambre et dans les escaliers de secours. Visite chez Emerson puis visite a la boutique JuJu et tentative d'intimidation sur Silas et puis après cela visite chez Prospero.

Cette nuit des ombres rôdent autour de la chambre qu'ils ont louée pour essayer de piéger des africains .. Ils ont mordu à l'hameçon mais ne les agressent pas encore, attendons qu'ils soient isolés, peut être un accident de voiture demain matin ...

Tout ça bientôt sur le blog !
Dweller on th.

le 19.01.2013
à 14:33

  

(Dweller on the Threshold)


Bravo...
Amusant de voir à quel point les choses sont differentes d'u e table à l'autre: mes joueurs ont mis quatre seances avant d'oser aller chez JuJu. Et encore, comme ils ont assez vite annoncé sur quoi ils enquêtaient, j'ai joué un Silas style vieux sage à la Morgan Freeman...moralité: ils lui ont fait confiance et l'ont pris pour un allié, source d'information et non des ennuis qui n'ont eu de cesse de leur tomber dessus à partir de là...😜

Le blog des Masques: www.howlingtwenties.wordpress.com

Taro_d_zbel

le 19.01.2013
à 17:21

  
ils ont envoyé un de l'équipe en éclaireur dans la boutique.

le mec: Elias vous connaissez ? Parce que lui vous connais .. Et aujourd'hui il est mort. Alors retrouvez moi a l'hôtel Emerson avant 48 heures ou je vais voir les flics ..


Hehehehe !
Dweller on th.

le 19.01.2013
à 19:32

  

(Dweller on the Threshold)


C'etait à peu près ça...
Les miens lui ont tout de suite demandé si il se souvenait du passage d'Elias, puis si des gens avaient acheté des prangas et si des masques de cuir grotesques avec une sorte de trompe lui disaient quelque chose. Il leur a "gentiment" répondu qu'il pouvait se renseigner. Apres quoi il lui ont conseillé de se méfier de ce Culte de la Langue Sanglante lors de ses recherches...😳
Comme quoi, mes Investigateurs sont sympas ^_^

Le blog des Masques: www.howlingtwenties.wordpress.com

Taro_d_zbel

le 19.01.2013
à 21:37

  
Les miens ne sont allés voir Kensington qu'après avoir été a la boutique. Et du coup n'avaient même pas connaissant de quoi que ce soit.

Maintenant qu'ils ont en leur possession les notes d'Elias ils se demandent s'ils n'ont peut être pas fait de connerie.

Cependant (peut être du a la fatigue de la partie a 4:30) un des joueurs (s'il me lit il se reconnaîtra^^) a décidé de se déguiser en clodo et s'est avancé en toute fin de soirée ver la boutique JuJu avec l'idée d'y trouver Silas et de le braquer pour lui tirer la clef qu'il semble porter autour du cou.

.. Ça ne pardonne jamais ces plans foireux en fin d soirée alors j'ai choisis de mettre 6 mecs qui lui ont sèchement demandé de dégager de la.
Xexes

le 20.01.2013
à 09:11

  
Première partie hier et c'était bien rigolo.

Ils se sont énormément focalisé sur le symbole gravé sur le front d'elias et ce au point de demander à tous s'ils le connaissaient .....y compris à Silas :D
"ah non ça me dis rien mais je peux me renseigner, où logez vous ? et vous êtes messieurs ?"

Ils se sont fait suivre bien comme il faut après ça ,et ont eu l’excellente idée d'aller cambrioler Emerson Import le soir même .
Autant vous que le type qui faisait le guet dehors a eu quelques ennuis

xexes

Taro_d_zbel

le 20.01.2013
à 16:06

  
Je maintiens mon idée d'une voiture qui va "perdre le contrôle" sur la neige. Qu'ils comprennent que l'ennemi est dangereux et n'hésite pas a agir en plein jour, la scène risque d'être drôle. J'hésite encore quant a la victime.. Le faux clodo ou le mec qui est venu menacer Silas.

Autre fait notable, si mes joueurs se sont focalisés sur une partie des indices récoltés dans la chambre 410, ils ne se montrent jusque là pas du tout interressés par les membres de l'expédition Carlyle. Au point de n'avoir pas fait le rapprochement avec la carte de la fondation Penhew ..
Taro_d_zbel

le 03.03.2013
à 09:18

  
Alors vendredi soit a eu lieu la deuxième partie a NYC. C'est le jour de l'enterrement d'Elias et deux des persos y n'ont ouvertement alors qu'un autre lui a l'intention d'y aller plus tôt pour se planquer dans un arbre pour surveiller les environs.

En sortant de leur hôtel a lieu cette tentative d'assassinat a la voiture folle, un black les yeux injectes de sang fonce sur Atthus en hurlant, la foule aussi mais Arthus vif comme l'éclair saute sur le côté et évite de justesse la voiture sont le conducteur va s'écraser a ses pieds le visage défiguré par le pare brise.

Le soir les joueurs veillent monter une expédition punitive a JuJu ...
Taro_d_zbel

le 05.03.2013
à 13:47

  
Un de mes joueurs s'est mis dans la tête de draguer Erica Carlyle ..

Il se dit qu'avec sa belle gueule et son côté bad boy il allait sûrement y arriver !

Moi je ne vois pas trop la nana en pincer pour ce genre d'individu ou alors peut être son bodyguard non ?
Bintz

le 05.03.2013
à 14:06

  
Vu comme elle détestait le comportement de son frère, je doute aussi qu'elle s'attache à un Bad Boy. Après, les sentiments, c'est pas toujours très rationnel :)

bintz.fr (où on parle entre autres de jdr)

Yorick

le 05.03.2013
à 14:09

  
Sinon la demoiselle peut pratiquer le concept du "mec kleenex".

Douteux quand même, je le concède. Pour le bien de l'intrigue il vaut peut-être mieux lui laisser un coté "hors d'atteinte" du commun des PJs. Après tout, qu'on-t-ils d'unique à lui proposer et qu'elle ne puisse se procurer sans eux?

Tout ce que je sais c'est que je ne sais rien.

Kreum

le 05.03.2013
à 15:05

  
Je serais tenté de laisser sa chance au joueur, tout en lui faisant comprendre le côté inaccessible de ce genre de personne.

Au choix, selon la personnalité retenue pour Erica, elle peut s'amuser de voir le PJ lui faire une cour assidue et le laisser mariner, ou bien en faire un "mec kleenex" comme dit Yorick.

Tu peux aussi imaginer qu'elle a une relation avec Bradley Grey ou Joe Corey, ce qui peut rapidement mettre un terme aux prétentions du PJ (surtout si c'est Corey-la-marmule)
Taro_d_zbel

le 05.03.2013
à 16:32

  
Ça sera d'autant plus frustrant que le joueur qui n'a pas encore rencontré la belle dame est persuadé de pouvoir en faire dont plat du soir en quelques jours. Ils comptent quitter NYC dans 10 jours max.

En plus visiblement un français du groupe se laisserait bien à la dragouiller également !

L'idée du kleenex le semble rigolote !
Yorick

le 05.03.2013
à 16:45

  
Si tu retiens l'idée du mec kleenex, je pense qu'il devrait avoir à faire un jet de résistance (avec un gros malus) afin de ne pas faire sur l'oreiller de confession embarrassante. Car dans ce jeu qui chasse qui?

Les meilleurs espions on toujours été les femmes, les hommes ayant la fâcheuse tendance à être bavard une fois satisfait.

Surtout si 2 PJs passent dans ses bras, si l'un des deux bavarde il peut être tenté de se dédouaner sur son petit camarade (bonjour l'ambiance...)

Tout ce que je sais c'est que je ne sais rien.

Kreum

le 05.03.2013
à 17:12

  
Attention quand même à ne pas virer "feux de l'amour"... Enfin si les joueurs aiment ça, pourquoi pas, mais bon... ;)
Taro_d_zbel

le 05.03.2013
à 17:26

  
Ouais ! Bon de toute façon les joueurs laissés de côté ne l'entendront pas comme ça et les remettront vite sur des rails
Dweller on th.

le 10.03.2013
à 23:57

  

(Dweller on the Threshold)


Mise à jour des derniers exploits de ma tablée, relatant les conséquences de leur descente à JuJu, l'enlèvement traumatique de l'un d'eux dans la chambre où il était hospitalisé et leur intervention musclée en compagnie du lieutenant Poole au Victoria's Jazz Club pour tirer leur collègue des griffes de la secte...

Vous trouverez aussi une description détaillée de la premiere rencontre de l'un d'eix avec une entité du Mythe...

Enfin, une description par votre serviteur pour donner davantage de corps au livre " Secte Secrète d'Afrique" permettant de matérialiser concrètement le gain en pourcentages de Mythe de Cthulhu obtenu à la lecture...

Tout est , dans les dernières entrées, si vous fouillez...

Le blog des Masques: www.howlingtwenties.wordpress.com

Taro_d_zbel

le 11.03.2013
à 09:38

  
Excellent Dweller, si ça ne te dérange pas je te pique ta description du bouquin.
Dweller on th.

le 11.03.2013
à 13:12

  

(Dweller on the Threshold)


C'est fait pour...

Le blog des Masques: www.howlingtwenties.wordpress.com

Taro_d_zbel

le 29.03.2013
à 08:51

  
Toujours à propose d'Erika Carlyle, comment ha jouez vous ? Dans quelle mesure apporte-t-elle des informations (m'weru par exemple) alors qu'elle n'a en rien envie de parler de son frère ou de son expédition ?
Xexes

le 29.03.2013
à 09:00

  
Pour moi ça dépend clairement de l'optique dans laquelle les joueurs l'abordent :
-si c'est en voulant jouer sur la fibre fraternelle et la recherche de la vérité, ça va foirer et elle ne dira presque rien.
-Si c'est en partant sur le désir d’élucider une affaire potentiellement dangereuse/honteuse , et ce avant que le scandale n'éclate et n’éclabousse la famille carlyle, là elle parlera .

Sur m'weru ,j'ai considéré qu'elle ne connaissait que son nom européen :Anastasia

xexes

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Merci à Monsieur Sandy Petersen !
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