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Sanatorium : Scènes et ressort dramatique
Backorifus

le 26.07.2013
à 11:12

  
Bonjour,

Je vais maitriser le Sanatorium à des personnages novice à l'AdC.
Je désire également disposer de scènes supplmentaires afin de'augmenter l'horreur et le ressort dramatique du scénario (je sais il est déjà très haut).
Avez vous des idées ?
SInon perso, je vais ajouter ces scènes là :

- - Hawkins est parvenu à obtenir un couteau (hachoir ou autre) et a disparu dans la maison (il peut également être parvenu à s'infiltrer dans la chambre d'une des joueuse et aavoir déchiré tous ses vêtements)
- - Une nuit un des personnages entend du bruit dans le couloir, il parvient à voir une fmme en robe d’infirmière (Catherine Ames?) disparaitre au détour d'un couloir : En fait, c'est Henry Adam barber qui a dérobé la blouse de Miss Ames et qui s'est travestie.
- - Défaillance du générateur en pleine nuit. Qui va sortir pour aller le réparer ?

Voyez vous d'autres scènes qui pourraient venir augmenter le climat d'horreur qui va régner dans la maison ?

Merci à vous.
Backo.

Backo

Desparite

le 26.07.2013
à 16:56

  
Il y a le cache-cache entre l'infirmier et les joueurs.

D'abord celui où les investigateurs sont à l'intérieur et lui dehors.
Lorsqu'il passe furtivement devant une fenêtre il peut être remarqué de l'intérieur. Mais vu qu'il fait nuit, lorsqu'on se rapproche d'une fenêtre fermée, on a tendance qu'à voir son propre reflet...

Lorsque la lumière est éteinte, c'est le moment où l'infirmier peut glisser lentement sa fenêtre devant le carreau, en souriant d'un air malsain tout en toquant lentement à la vitre.

Dans le même genre, tu as la partie de cache-cache à l'intérieur, de préférence après plusieurs heures de construction de barricades, de verrouillage de porte et de renversement d'armoire (autant de coin d'ombre où se planquer).

Tu as aussi la version club-nature en extérieur où rapidement on ne sait plus qui traque qui, lorsque tu capte le score de discrétion du gus, tu comprends pourquoi certains de mes joueurs l'ont surnommé le bucheron-ninja

Barber est excellent pour taper des crises de nerf détestable, s'en prendre aux autres internés (par des souffrances psychologiques du genre à faire peur à la paranoïaque ou bien à chanter faux pendant des heures pour empêcher le colonel de s'endormir. J'aime bien lui faire organiser de théâtrales et publiques tentatives de suicides ratés lorsqu'il n'obtient pas ce qu'il veut : une lettre d'accusation, un rideau en guise de corde et vas-y que j'essaie de me pendre dans le hall d'entrée.

Idem s'il tombe sur des cachets qu'il pourra avaler frénétiquement devant les personnages compatissant du groupe, si les PJ le supportent encore il peut s’essayer à de la défenestration, à manger toute les provisions pour se faire éclater l'estomac, à de l'électrocution, de la noyade dans une bassine etc. etc. Jusqu'à ne pas se rater lorsqu'il s'aspergera de fuel dans le local.

Tu peux aussi considérer que la bonne avait deux chats et employer le survivant pour jouer avec les nerfs des personnages.

Une mine d'or ce scénario !

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Merci à Monsieur Sandy Petersen !
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