Le Modèle de Pickman (variation) |
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La flamberge
le 23.05.2012 à 00:07 | Si vous avez lu mon commentaire du scénario susnommé, vous savez qu'il ne me satisfait qu'à moitié. Je l'ai donc retravaillé pour le rendre un poil plus glamour -si j'ose dire-. Notez que je respecte le travail du regretté monsieur Herber et que je n'ai nullement la prétention d'être son égal. C'est dit. Primo, je supprime Ghadamon et j'en fait un "shoggoth like" - toujours un produit de la science des migos combiné au pouvoir d'Hypnos - Concrètement ça donne 1er tableau : l'Ancienne Yuggoth. La description du bâtiment reste globalement identique. J'ajoute un châssis mobile en métal sur le dôme portant un obélisque de cristal sombre pointant vers Corona Borealis pour capter et concentrer la puissance onirique du dieu. Le sombre rejeton est au centre, encerclé de cristaux verts et de cinq cuves reliées aux tuyaux et pleins de liquides, dans lesquelles les fungi ont plongés des prisonniers, des humanoïdes ailés à la chair diaphane où court des myriades de couleurs. les migos actionnent leur machine et le rejeton étire un tentacule au dessus de chaque cuve, et déverse le liquide jaune écœurant et les pauvres créatures commencent à muter et quand c'est bien avancé une trappe s'ouvre et expédie le nouveau né au sous sol. Les migos font venir d'autres captifs et rebelote Sant Mikael get e valanseu a bouez ar gwir hag ar gaou |
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Shubby
le 23.05.2012 à 11:51 | Huh ? Les migos font une belote ? ^^ "Nous verrons plus tard." |
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La flamberge
le 23.05.2012 à 23:42 | oui da, autour d'une bonne bière de Yuggoth... ;)
Variante (pour un deuxième passage dans la toile) : des prisonniers arrivent sur une barge. Les investigateurs peuvent tenter de les aider, et obtenir des infos - des flashs télépathiques - de la part des "anges" E.T., sur leur monde vampirisé par le bio armement migo
2ième tableau : l'aube de R'lyeh. Là, celui -là il me plait pas du tout. "vous arrivez à R'lyeh vous êtes mort". Faut pas pousser. Donc exit R'lyeh. A la place, je mets la Cité Engloutie, dans les eaux de la route maritime d'Oriab. Voyez l'entrée en question dans le bouquin. Un pauvre Gnorri est victime de trois profonds. Le capitaine du galion sur lequel se trouve les onironautes est plus partisan de les laisser se débrouiller. Si les rêveurs interviennent pour le sauver, reconnaissant, il leur fait un signe de la main, puis disparait sous l'eau. Plus loin, les profonds vont couler le navire en créant un maelström. Les rêveurs sont dans la mouise à moins qu'ils aient aidé le gnorri, qui ramène ses potes pour faire des brochettes de profonds, et donner aux humains de l'algue magique qui fait respirer sous l'eau, (utile pour le Lac Stérile, si tant est qu'ils puissent la conserver jusque là). Après une bataille homérique, tout le monde se retrouve dans un labyrinthe gnorri pour une bringue du tonnerre, façon le village ewok à la fin du Retour du Jedi, mais sous l'eau et sans les poils moins horrifique mais plus onirique
Gloire à Neptune ! Sant Mikael get e valanseu a bouez ar gwir hag ar gaou |
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La flamberge
le 24.05.2012 à 23:38 | Pour ce qui est de la propriétaire de la Cité Engloutie madame Bancroft, j'en fais une disciple d'Aleister Crowley, une marionnette de Nyarlathotep. A la soi-disant Abbaye de Thelema à Cefalù, elle a participé à un rituel incestueux avec son fils Sonny, sous l’œil même de l'Homme en Noir qui a sanctifier le fruit de ses entrailles, à savoir Jerry, qui bénéficie d'une croissance accélérée, d'une résistance hors du commun et de la faculté de se transformer en monstre dans les contrées. Les autres illuminés restent comme dans le bouquin Sant Mikael get e valanseu a bouez ar gwir hag ar gaou |
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La flamberge
le 25.05.2012 à 22:14 | Crépuscule sur NYC : celui là reste tel quel
Destin : la chambre du tableau est moins sinistre -même si l'on voit toujours les ombres menaçantes au niveau du lit, pas de vision hideuse dans un premier temps - une frise délicate en fait le tour et il y a un balcon qui révèle un coucher de soleil splendide sur Thran, ses flèches d'or et ses murailles d’albâtre. Un escalier descend vers un petit jardin suspendu et beaucoup plus bas la rue. Au milieu de la verdure luxuriante, un bassin où l'on peut voir Nelson endurer son calvaire au fond du lac. Si les investigateurs remontent dans la chambre, le soleil est couché, ils ont une brève vision de la chose Nelson, vautré sur un tas de cadavres. Les ombres attaquent
voilà ! Des suggestions, des commentaires, des questions, n'hésitez pas
La Flamberge Sant Mikael get e valanseu a bouez ar gwir hag ar gaou |
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