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Premier scénario... vos impressions !
Lapantoufle

le 28.12.2009
à 17:45

  
Salut à tous et à toutes !
D'ores et déjà, pour mon premier message sur ce forum, je suis un boulet : je n'ai pas trouvé où l'on pouvait se présenter.
Bref, je voulais connaître vos pensées sur mon tout premier scénario de l'Appel, je débute dans ce domaine du jeu de rôles...
Prologue : ce qui se passe avant que les joueurs soient sur place.
Chantéreux et une mignonne petite bourgade près de l'ancienne frontière allemande (1870).
Dès 1914, un lieutenant de l'armée propose au dresseur de chiens local de dresser des chiens de combat, ce dernier accepte et s'isole légèrement du village pour s'officier à cette tâche. Il est tué lors d'un regrettable accident de tir en 1917 avec l'officier qui l'avait contacté. Le projet et oublié, mais les chiens, eux, grandissent.
Ce village de deux cents âmes voit son conseil municipal partir pendant la guerre (constitué de seulement trois personnes, dont le frère du maire, l'adjoint).
Vous suivez toujours ?
Mi-1918, le maire meurt d'une crise cardiaque. Les habitants se réunissent et contactent le préfet qui diligente un administrateur pour s'occuper des fonctions municipales en attendant la fin de la guerre.
Le frère du maire est dans les tranchées avec un autre soldat passionné d'occultisme... qui se prend un obus et est transporté dans un hôpital à l'arrière. Le frère du maire en profite pour lui voler son livre traitant de spiritisme.
C'est pas encore fini, accrochez vous.
Le frère du maire est nommé par le reste du conseil municipal nouveau maire. Nous sommes fin novembre 1918.
Les chiens commencent à faire des ravages, le maire, voyant une troupe de "poilus" revenir du front leur demande de l'aide.
Les poilus sont pour la plupart des fripouilles et des déserteurs. Non seulement ils ne filent pas un coup de main, mais ils foutent la pagaille, puis violent et tuent la femme du maire pendant la nuit. Ce dernier découvre la dépouille de sa femme et une idée germe dans son esprit. Dans la nuit, il réussit à faire passer pour morte de maladie sa femme (la ville n'a pas de médecin) et le lendemain, il chasse les déserteurs avec la populace. Sans elle, il revient voir les "poilus", les attirent dans un piège et involontairement découvre où se cachent les chiens. Les "poilus" morts, il commence à utiliser les corps pour ses tentatives de résurrection, les chiens, eux se sont déplacés...
Cela se déroule début - mi décembre 1918.
Fin du prologue.
Lapantoufle

le 28.12.2009
à 17:57

  
J'ai pensé qu'un double post clarifierait un peu cet ignoble parpaing.
Les personnages joueurs arrivent à chantéreux le 19 décembre avec pour chacun des motivations différentes.
Le maire les contactera rapidement pour leur souhaiter la bienvenue et les entretenir sur les problèmes locaux ( les chiens ).
Les joueurs pérégrinerons dans de vieilles tranchées, dans une ville en ruine, puis leurs découvertes les amèneront au manoir des Mortemont, abandonné et réputé hanté où le maire se livre à ses petites expériences...
Entre temps, ils auront découvert un cas d"empoisennement ( le maire soupçonne une femme d'avoir découvert ses projets, il l'empoisonne.. et évidemment tout le monde croit que la maladie de la femme du maire se propage ! ).
Les dépouilles de deux détectives privés enquêtant sur la disparition d'une brigade de poilus seront retrouvés. Le troisième attaquera les pjs, comme ses compagnons il a découvert la vérité et il s'est enfermé dans la cave d'un vieux village en ruines. Il est devenu fou.
Les cadavres de poilus sont pour la plupart des zombis sans cervelles, tout juste bons à frapper mais très difficilement destructible. S'inspirant du mythe vaudou, ces zombis suivent les ordres de leur créateur. Ils ont les lèvre scellés ( le sel les tuent ) et le petit doigt coupé ( le maire, de son épée bénite à du y procéder pour le rituel de réssurection, évidemment, il se fera un plaisir d'utiliser cette épée contre les pjs ).
Le maire essayera le processus le soir du 24 et échouera lamentablement, puis se suicidera. Si cela survient, c'est que les pjs auront mis trop de temps et seront passés à côté de l'intrigue.
Les soupçons des pjs se porteront plutôt sur le curé du village, à l'air fanatique et au bouc de diablotin. Il n'y est pour rien dans cette affaire ( exceptée la bénédiction de l'épée, mais il n'a jamais compris pourquoi le maire lui demandait ça ).
Quand aux chiens, étant donné que les pjs auront successivement ruiné toutes leurs cachettes, ils iront sûrement terroriser un village voisin.
Voilà grosso modo ce qu'il se passe dans ce scénario, excepté un ou deux rebondissements.
J'aimerai avoir vôtre avis là dessus si possible !
Shining

le 29.12.2009
à 08:49

  
C'est pas mal tout ça...
Encore qu'il faudrait que les PJs aient une bonne raison de s'impliquer, ce qui ne devrait pas être trop dur à trouver.

Au niveau des différentes pistes, on peut espérer que les joueurs s'y retrouveront. Ni trop facilement, ni sans difficulté...
Après cet aspect, ton scénario a l'air assez dinamisé par les différents combats (chiens, déments, sorcier).

En fait, il faudra surtout faire attention à la linéarité de ton scénario : il ne faudrait pas que les PJs se sentent "emprisonnés" par l'intrigue....
Mais j'imagine que tu as prévu une marge de manoeuvre.
Vonv

le 29.12.2009
à 09:02

  
Ca lorgne pas mal du côté de No man's land (présent sur Toc. Y a des idées, par contre, comme beaucoup de scénars, et comme le fait remarquer Shining, c'est 'achement linéaire.

J'y ai pensé et en re-feuilletant quelques vieux scénars du commerce ou de Casus, je me suis aperçu que, pour ne pas passer pour linéaire, ils utilisent une méthode.

La méthode n'est pas de décrire la succession des actions des PJs: "et une fois qu'ils soupçonnent le curé..." "après avoir découvert le petit mot sous la table..." mais de décrire le déroulement des événements sans prendre en compte les investigateurs et leurs actions: "il se passe ça" "et une fois que untel a ouvert le portail alors il va..." "puis les chiens, une fois la population décimée, s'en prendront à...".

Ensuite tu places les endroits où les PJs peuvent rejoindre le scénar (aides de jeu, interactions avec les PNJs,...). Un scénar de jdr, ce n'est finalement pas un scénar de film déjà écrit mais un "champs des possibles" dans une chronologie déjà établie sans eux.

Sinon, ça me fait toujours revenir sur la question concernant les bons vieux donjs des familles: mais que foutent ces putains de gobs dans une pièce de 9m² en attendant les aventuriers ? Ils restent collés derrière la porte, l'arme à la main ???
Clem

le 29.12.2009
à 10:43

  
Ben, meme pas, puisque la plupart du temps, t'en as la moitie qui dort et l'autre moitie qui joue aux des...
Sauf une fois dans un scenar amateur vendu en boutique ou il y avait une piece contenant 5 kobolds occupés à ... sodomiser un nain.
L'auteur devait etre un brin torturé lui meme, je pense...

Clem

Gavigan

le 29.12.2009
à 10:55

  
Vonv a dit...
Sinon, ça me fait toujours revenir sur la question concernant les bons vieux donjs des familles: mais que foutent ces putains de gobs dans une pièce de 9m² en attendant les aventuriers ? Ils restent collés derrière la porte, l'arme à la main ???
La quintessence d'un scénario réaliste ! C'est contraignant pour l'auteur, mais c'est à mon avis comme ça qu'il faut penser sa création. En plus ça fait venir des idées...

Et justement, pour revenir à cette ébauche, au début, les chiens sont en cours de dressage, donc ils sont dans un endroit clos, et encadrés par des dresseurs (un projet militaire visant à dresser toute une meute de chiens de combat avec un seul dresseur ça me parait peu réaliste même en 1914).
Quand le Lieutenant est tué, il reste donc les dresseurs, de plus, les bêtes sont dans leurs enclos. Ensuite les chiens grandissent, donc le projet continue, donc l'armée nomme un nouveau chef, ou bien le plus gradé des dresseurs prend le commandement... Si tu veux que les chiens soient sans maître, et en liberté, au moment de l'introduction, il va falloir trouver une explication logique (les dresseurs ont été décimés - par quoi ? - , les chiens envoyés au combat ont échappé au contrôle - pourquoi ? - etc...)

A l'inverse, et vu qu'apparement tes chiens ne servent que d'introduction, tu peux simplement dire que ce sont des chiens de combat qui ont déserté le front dans le chaos des combats et se sont regroupés dans la région et hop tu zapes toute les explications.

Mais j'aurais bien vu un petit quelque-chose de surnaturel avec les chiens (par exemple un lien occulte qui uni la meute et/ou qui participe au dressage...et surtout un rapport avec le reste du scénario)

Dernier point, j'aurais bien vu aussi un soupçon de en plus, avec un final un peu plus ouvert sur le Mythe, et une entité qui agit dans l'ombre sur les agissements du Maire, avec possibilité de confrontation sur la fin, mais ça c'est une question de choix...

Enfin, pour un premier scénario l'intrique est déjà pas mal ficellée, il faut juste assembler tout ça de manière un peu plus solide, mais ça m'a l'air de bien partir...

A bit foggy today isn't it ?

Chevalier dup.

le 29.12.2009
à 11:49

  

(Chevalier Dupin)


Salut,

je constate que ta horde de chiens fait penser au film "The Breed" ainsi qu'à un vieux-vieux scénario de Mega (peut-être le connais-tu vu ton profil )

Gavigan ayant répondu sur les chiens (les paysans ayant des fusils de chasse, je ne vois pas trop le problème d'ailleurs), je m'attaquerai aux autres points:

L'armistice étant déclaré depuis plus d'un mois, les unités du front sont quasiment toutes reparties.

- Les déserteurs ont du déserté bien avant l'armistice et ne sont certainement pas restés près du front.

- Les fripouilles (s'il s'agit de criminels) font partis des bat d'af - composés d'ex et de criminels. Ils sont dans des groupes très disciplinés et surveillés (dès fois qu'ils veuillent partir).

Si des militaires disparaissent (en temps de guerre ou de paix), ce sont les gendarmes qui vont enquêter, pas des privés...

J'imagine mal un occultiste transporter sur le champ de bataille un livre ésotérique

Ta bourgade, près de la frontière prussienne est très certainement devenue un champ de ruines inhabitable (artillerie, attaques, etc.)... Je te conseille de délocaliser (pas trop loin quand même) ton action.

Il est vrai que la partie des chiens se mélange avec l'autre d'une curieuse façon... Tu pourrais mettre la menace des chiens en arrière plan et les faire attaquer (si tes Pjs les menacent) lors du final.

Par contre, si je comprends bien le maire (fou depuis la mort de sa femme) veut ressusciter celle-ci comme un zombi ? La cérémonie rate et puis quoi ? La morte est réanimée ou pas ? Les zombis restent dans leur coin ? Dévastent le village ?

En Garde Monsieur le Poulpe !

Woulf

le 29.12.2009
à 11:59

  
Côté forme / méthode, effectivement faut faire très attention (cela risque de te "diriger" et au final laisser moins de marge à tes joueurs).

Côté fond, le coup des chiens qui finalement vont terroriser un autre village (alors que dans ton premier jet, soyons clair c'est l'objectif premier de la venue de tes investigateurs) est assez frustrant pour tes joueurs.
Garde toi une option dessus, par exemple avec un final époustouflant de lutte chaotique zombies/chiens/investigateurs. Cela peut amener un point fort de combattre aux côtés des chiens contre les créatures car, après tout ils ont été dressés au combat, encore faut il que les PJ sachent s'y prendre : découverte d'indices suffisants pour les canaliser (sifflets, gestes & cris décrits dans un journal de bord des dresseurs...). Tout cela pour leur amener un choix final une fois la menace écartée, que faire des toutous tueurs ? Dilemme et jet de SAN

Autre point de détail, nulle part tu n'évoques le moyen pour les investigateurs de découvrir l'histoire de ton "maire". Tu lui ponds un historique psychologique de folie, mais tu n'en fais rien. C'est dommage.
A toi de choisir si tu laisses des indices (carnet personnel, portrait de sa femme, témoignages de PNJ, évocations évasives du maire) pour que tes joueurs comprennent l'horreur de la situation.

D'ailleurs y a une incohérence avec le maire nan ?
Il fait ses résurrections (pour se venger des soldats et ptêt tenter de faire revivre sa femme ?) mais c'est lui qui fait venir les PJ pour les chiens. Normalement, il devrait au contraire essayer de les éloigner du village au maximum (et les habitants de se plaindre de l'inaction du maire) et surtout pas de faire venir des fouineurs pareils. Son attitude serait d'autant plus louche puisqu'il a su trouver tes clébards à un moment donné.

Et Chevalier Dupin a raison : pour l'instant, que tes joueurs viennent ou pas dans ton histoire : elle se résout toute seule (il se flingue) donc y a pas d'enjeu (même si on est pas obligé de "sauver le monde" à chaque scénario non plus).
Idem concernant les dates, rien ne t'empêche de le déplacer en 1920 (la guerre est finie mais la France est dans un état assez bordélique et du coup exit le problème de la gendarmerie, au besoin place ton village dans une vallée difficile d'accès pour les villes et villages alentours : faudra compter que sur soi).

A ta place je ferais venir les investigos pour une raison tout autre : un des PJ était un habitant du village dans le passé et décide d'y revenir pour des vacances. Ou bien tes investigos sont tous de passage et leur route passe par le village, tu leur fais le coup de la panne ou plus vicelard, ils voyagent de nuit et une forme (chien / zombie au choix) percute l'avant de leur voiture (va falloir réparer).
Traditionnellement il y a le coup de l'héritage de la tante ou de l'oncle (mais bif bof car ultra vu et revu).
Tu peux aussi brouiller les pistes : un chantier de déblayage de bombes va se monter et c'est ton équipe d'investigateur qui est envoyée en reconnaissance par la société (qui a eu vent de troubles dans la région). C'est d'autant plus sympa que tes joueurs vont avoir peur qu'il y ait des bombes durant leurs explorations et fouilles.
Un de tes cadavres de privé a ptêt aussi une secrétaire éplorée (ex petite amie d'un des investigateurs : s'il te plait Roger, en souvenir de nous deux...).
Si tu as un religieux, c'est ptêt carrément un membre du Vatican qui va demander à un de tes joueurs (et ses amis) d'aller voir ce qui se passe du côté du père machin qui refuse d'être muté ailleurs...
Enfin, comme l'évoque Chevalier, tes joueurs peuvent être une commission militaire chargée de retrouver les déserteurs (les PJ vont se sentir d'abord en puissance, puis isolés du monde et avec munitions limitées ils vont flipper : téléphone marche pas, vallée inaccessible pour fuir rapidement ou demander des renforts).
Pis pas hésiter à mélanger tous ces éléments pour te les approprier (les joueurs doivent se sentir investis dans ton histoire).

Bref tu peux exploiter tout ton contexte, pour l'intro toujours s'appuyer sur tes PNJ et tes PJ (pour éviter l'effet "pièces rapportées" où les joueurs prennent en pitié ton scénar' et se forcent à y évoluer).

Que les Profonds vous tapent la causette !

Lapantoufle

le 03.01.2010
à 01:51

  
Merci de toutes vos réponses !
Pour ce qui est de l'ouverture sur le mythe, j'y avais déjà pensé, mais je n'ai pas envie d'en faire trop pour mes joueurs...
Ce n'est en tout cas pas le maire qui convoque les pjs ! Ils sont tous là pour de bonnes raisons ( j'avais pensé à faire la première scène dans un bus, où il puissent échanger un peu leur histoires, et peut être leurs objectifs ).
Chaque joueur a une raison bien précise de venir dans cette bourgade paumé de l'est !
Pour ce qui est du maire, je compte faire trouver des indices en filigranes aux joueurs au fur et à mesure de leur exploration, leur rencontre avec ce dernier devra leur faire dire un petit " bon sang mais c'est bien sur " !
Pour ce qui est du livre d'occultisme... je me suis dit... pourquoi pas ? Feltermeyer ( le pnj ) était infirmier lors de la guerre des tranchées, entre deux atrocités, il a bien pu tester sa science un minimum, tout le monde n'est pas assez riche pour faire venir des cadavres dans sa cave, et en voler dans un cimetière n'est pas toujours si simple !
Ma bête noire reste évidemment la mort du dresseur de chiens, j'avais pensé que lui aussi avait été tué sur le front... le lieutenant aurait pu le convoquer, Boum, un obus c'est réglé. Il n'est pas forcément illogique que le lieutenant, un officier ait décidé d'adopter ce projet avec l'accord d'un supérieur qui s'en fichait pas mal... sa mort n'a pas trop dérangé, cependant, je l'avoue cela reste un peu tiré par les cheveux, je vais devoir trouver mieux.
Le maire, quand à lui, canalise l'énergie des zombis, sa mort devrait les faire retourner à l'état de cadavre définitif. L'autre problème qui se pose à moi est effectivement son suicide : en le maintenant, cela pourrait se finir en queue de poisson, cependant, Lovecraft fait bien souvent des crasses à ses héros, les mettant aux prises d'un destin incontrolable contre lequel il ne pourront lutter, mais c'est assez faible ici.
Néanmoins, je dois faire comprendre à mes joueurs qu'ils n'ont pas le temps de flâner et qu'ici, on n'est pas à D&d, où l'on se repose 3 semaines pour regagner ses pvs sans que cela influe sur le jeu ! Je vais donc réfléchir de ce pas à une nouvelle limite temporelle, et je vous remercie de vos conseils !
Woulf

le 05.01.2010
à 12:02

  
cependant, Lovecraft fait bien souvent des crasses à ses héros, les mettant aux prises d'un destin incontrolable contre lequel il ne pourront lutter, mais c'est assez faible ici.
Ouais Lovecraft écrivait des nouvelles pour 1 ou 2 personnage(s), pas des scénarios de jeu pour 4-5 investigateurs : ne mélangeons pas tout

Le principe c'est que ton scénario soit calibré pour tes joueurs pas de faire un truc sur du texte sacré

Donc tôt ou tard il faut que tes joueurs sentent qu'ils sont au centre des événements (leurs actions ont des conséquences), surtout pas qu'ils soient de simples spectateurs.

Il existe des alternatives au suicide du personnage du maire, cela peut être grossièrement l'exemple suivant :
imaginons que ton village soit en haute montagne, un barrage peut surplomber la vallée. Si le maire décide qu'il ne mérite pas de vivre, peut être pense-t-il aussi que l'humanité non plus (qui dans son esprit correspond aux villageois). Il envisage de se faire sauter le caisson... avec le barrage

Que les Profonds vous tapent la causette !


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