| Présentation des personnages |
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Goony
le 25.10.2003
à 17:50 | N'ayant pas le temps de créé des histoires personnalisées pour chacun d'entre vous, je propose que vous créé vous même une petite histoie qui vous a permeis de rencontrer au moin une personne de l'équipe.
Cette rubique va permettre à chacun d'entre vous :
- Présenter leur personnage
- Créer les liens entre vous une fois tous les personnages présentés. |
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Lee
SHERITT 
le 29.10.2003
à 09:06 | Lee Sherritt est ce que l'on appelle un gaillard ! Ce bostonien pure souche, fils d'un boucher et d'une institutrice, cultive son aspect massif pour son métier, qui est plus une passion à présent : homme de main. Et quand on voit ses battoirs...
Enfance bagarreuse, Lee, le costaud au coeur tendre, a su trouver sa place parmi les classes aisées de Boston et sa banlieue... tout en y restant toujours. Lee est, en effet, un professionel : toujours bien habillé, discret et attentif.
Sa famille, il en parle peu, mais on a vu sa soeur Jenna le sortir de certains troubles judiciaires avec ses talents d'avocate.
Quand cette petite odeur de réglisse machouillé vient vous chatouiller les narines, priez pour ne pas faire partie du "contrat" de Lee... |
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Lorenzo
le 15.12.2003
à 22:46 | Peter Watson :
Fils de parents ouvriers, son père travaillait sur les docks du port de New-York et sa mère dans une usine de tissage, Peter Watson est né en Janvier 1996 à New York. Son enfance fut plutôt heureuse grâce à l'amour dispensé par ses parents, qui n'hésitèrent jamais à se sacrifer pour qu'il puisse partir chaque été dans un camp de vacances dans les rocheuses, rejoindre quelques camarades d'école. C'est d'ailleurs avec le petit frêre d'un de ceux-ci qu'il parti dans différentes quêtes plus ou moins paranormal. C'est donc logiquement qu'à la fin de ses études, il s'orienta vers une carrière dans la Police. Il réussit brillament le concours d'inspecteur de Police et choisit de rester dans un premier temps à New-York, la ville qui l'avait vu grandir, où vivait toujours ses parents à cette époque. Durant cette période, il croisa le chemin d'un jeune journaliste Steffen WADDLE, avec qui il echangea quelques informations sur les affaires de l'époque. Hélas sa petite vie tranquille fut perturbée par l'assassinat de ses parents, crime non encore élucidé, et comme il était trop impliqué pour qu'on lui confit l'enquête, il demanda son transfert à Miami, pour cicatriser. C'est plus donc un homme plus fort moralement qui est revenu à NY, afin de résoudre cette série de crime.
Physiquement, Peter n'est pas un géant, ni très beau, mais il est assez fort, et surtout doté d'une très grande intelligence, ce qui lui permet de compenser certaines "lacunes culturelles". |
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Allan
CARPENTER.
le 25.01.2004
à 12:26 | Allan est né en Louisiane.
Il arriva à Arkham à l'âge de 10 ans. Ville ou son père obtenu la gestion d’un magasin de Mobilier de la fameuse chaîne ” Tomstong & Furlong co “
Son enfance fut des plus anodines.
Il suivi ses études à la célèbre Université Miscatonic, ou il obtint sa licence de droit et ouvrit, avec la bénédiction de ses parents (et un peu de sous), son agence de Détective
Traits de Caractère :
Plutôt froid au premier abord, il .... reste assez froid au second, cachant par cette attitude une certaine timidité.
Il reste entier vis à vis de ses amis, mais accepte mal les faux pas de ceux ci.
il est assez ouvert d’esprit.
Quand au croyance, culte, légende, et autres contes , il répond :
“Vous savez : premièrement J’ai du sang Français dans les veines !
et deuxièmement : Je suis né en Louisiane, alors, donc vous voyez !
physiquement Allan est très grand pour l’époque, 1.92 m. avec un poids de 85 ks, bien proportionné, bien proportionné, mais manquant un peu de souplesse, faute d’un entretien sportif constant.
Il a les yeux marrons et les cheveux bruns, laqué. |
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Isatis
le 26.01.2004
à 00:16 | Mairead O’Flaherty est né à Brooklyn en Janvier 1901. Sa mère, immigrante irlandaise du West Cork, pratiquait le plus vieux métier du monde, ce qui ne la rendait pas très disponible pour élever sa fille... La syphilis l’emportera finalement en décembre 1916. Quant à son père…
Du coup, on peut dire que l’enfance de Mairead ne fût pas vraiment heureuse. Très tôt elle a dû apprendre à survivre dans la rue, à faire son trou dans la communauté des irlandais de Brooklyn. Au fil des ans elle exerça de nombreux " métiers » : cireuse de chaussure, mendiante, voleuse à la tire, cambrioleuse, arnaques en tout genres…
Lorsque sa mère mourut elle fût placée dans une maison de correction où elle dû rester (malgré plusieurs tentatives d’évasions) jusqu’à ses 18 ans. Bien que pénible, cette expérience ne fût pas stérile car elle lui a permis, en lui donnant accès à l’instruction, de combler en partie ses lacunes en éducation. A sa sortie, Mairead était devenue plus qu’une gamine des rues, elle avait pris conscience de son potentiel, et était déterminé à accéder à une situation meilleure.
De retour à Brooklyn, Mairead s’est remise à " travailler », mais aujourd’hui son domaine principal c’est l’information. Elle monnaye toutes sortes d’infos à toutes sortes de gens (flics, détectives, gangsters, journalistes, bookmakers, proxénètes, tenanciers de speakeasies, courtiers etc…). Elle a pas mal de contact, en particuliers dans le milieu de la pègre irlandaise. Ce n’est pas toujours sans risque, mais elle la discrétion est une de ses qualités, et en cas de pépin elle sait se défendre.
Elle ne croit pas forcément au surnaturel, mais elle se souvient encore des histoires étranges que le vieux Seamus O’Mulligan, le vieux cordonnier originaire des Falls à Belfast, lui racontait le soir quand elle était petite. Il parait que Seamus aurait connu son père, un nationaliste en exil, mais il n’a jamais voulu lui en parler.
Mairead est plutôt petite et mince. Sa faible force et sa constitution fragile sont compensées par une assez bonne dextérité. Jolie mais discrète, c’est une véritable irlandaise, sa chevelure est rousse comme une Kilkenny, son caractère aussi fort qu’une Guinness et ses yeux gris comme le ciel du West Cork. Opportuniste par nécessité, elle peut se montrer généreuse si l’on sait gagner sa confiance. |
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Isatis
le 26.01.2004
à 22:10 | Liens possibles avec les autres persos:
Logiquement, Mairead a pu déjà rencontrer Peter WATSON. Vu qu'elle est indic et lui flic, et qu'ils vivent tous deux à NY, ça peut coller. Eventuellement, Peter peut être le flic qui l'a coller en maison de correction.
Mairead à trempée dans pas mal d'affaires louches, Boston & Arkham ne sont pas si loin que ça de New York, et dans le même ordre d'idée, elle à déjà pu rencontrer Lee SHERRITT et Allan CARPENTER. |
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Allan
CARPENTER.
le 26.01.2004
à 23:39 | Mon agence se trouve (après confirmation) à NY. ce qui confirme le lien entre Mairead O'FLAHERTY et moi.
Pour Peter WATSON , nous pouvons aussi supposer que nous nous connaissons. NY est grand, mais nous pouvons très bien etre dans le meme "district". |
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Lolopro
le 28.01.2004
à 10:30 | De taille moyenne mais très frêle, Fitzgbart Herbert est un prof d'université en économie, avec certaines connaissances en droit (les 2 matières sont souvent associées à l'époque).
Célibataire, une cinquantaine d'années, fervent défenseur des théories néoclassiques, pourfendeur des théories keynésiennes (il a fait quelques réponses à des articles de keynésiens assez croustillantes, restées dans les annales), a une chaire à l'université Miskatonic. L'économie a toujours été sa vocation, sa thèse ayant pour objet de recherche le rajout d'une variable au modèle de production. Puis, il est entré en tant que professeur de droit à l’université, où à force de jouer des pieds et des mains, il a réussi à ce que l’économie devienne une matière à part entière.
C’est quelqu’un de bien connu dans sa matière, mais peu, voire pas, ailleurs. Il est très “recommandable” quant à ses origines, son père étant un riche industriel, et sa mère est issue d’une basse branche de la noblesse française. Il ne croit absolument pas à "toutes ces fadaises de bonnes femmes" paranormales.
Bref, c’est un vieux prof assez hautain, un notable (membre du Lion’s Club) imbue de sa personne, et qui ne se prend pas pour n’importe qui.
Liens possibles avec les autres persos:
ils ont facilement pu m'avoir en tant que prof, surtout ceux qui ont eu des cours de droit (j'en fait toujours un peu): Peter WATSON, avec qui je peux toujours être en contact en tant que "consultant", Allan CARPENTER a pu suivre mes cours de droit, Lee SHERRITT, je peux connaitre sa soeur avocate. |
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Lee
SHERITT
le 28.01.2004
à 11:45 | Vous conernant Mairead, il est tout à fait possible que l'on aie eu à se croiser, quelques furent les circonstances, et pour pas forcément faire grands amis de longue date, et pour donner du fun :), on peut dire que notre dernière entrevue fut mitigée : je n'ai pas sû exactement quel parti vous prenize dans l'affaire -> du côté de mon employeur, ou de mon contrat ;)
Qu'en pensez-vous m'dame ?
Smith rôde pas aussi sur la Pomme ? |
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Isatis
le 28.01.2004
à 14:13 | Tu sais Lee, le seul parti que je prenne toujours: c'est le mien.
Mais dans l'affaire qui nous occupe je ne vois pas en quoi j'ai pu offenser ton patron.
Bon, d'accord, j'ai prévenu ton client que tu étais après lui (moyennant finance bien sûr). Ok, je me suis encore fait du bénèf en lui fournissant une planque. Mais au final j'ai quand même été réglo avec toi, je t'ai vendu l'adresse de sa planque et tu as pu exécuter ton contrat.
Après ce n'est pas de ma faute si j'ai oublié de te prévenir que je lui avait refourgué un vieux Smith&Wesson pour se défendre.
C'était à toi de faire gaffe mon vieux.
Au fait ton épaule va bien? |
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Lee
SHERITT
le 28.01.2004
à 15:08 | T'inquiètes pour mon épaule petite... mais ta notion de "réglo" laisse à désirer. J'ai pas beaucoup étudié mais essaie pas d'm'emmeler avec tes discours... dans c'cas-là, j'saisis un mot sur 3 et ça m'fait une phrase, après... j'avise
Avec un sourire en coin se voulant trop forcé pour être sérieux
Quittes alors ! Mais plus tant d'méli-mélo. |
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Phileas
le 29.01.2004
à 18:44 | Archibal St baine :
Archibald , la trentaine , est un homme de forte stature , blond legerement degarni sur les tempes , ses yeux bleus sont soulignés par des cernes tres marqués , sa machoire carrée est quand à elle réhaussée d’un nez visiblement cassé à plusieurs reprises . Son visage tourmenté est encadré par une barbe de plusieurs jours .
Il porte toujours de vieux costumes noirs legerement trop serrés ainsi que des chemises blanches jaunies par le tabac ,sa tete est coiffée d’un chapeau de feutre sur lequel trone sa carte de journaliste .
Archibald est né à borough , un petite ville isolée du colorado , il a eu une enfance heureuse sans soucis , fils unique , son pere est medecin tandis que sa mere tres croyante s’evertue à offrir son temps libre aux plus demunies .
Disposant d’une bonne education mais peu assidu aux cours , il prefere " emprunter » la voiture de son pere et parcourir la nature sauvage avec son appareil photo .
Tres discret et curieux de nature il se dirige tout naturellement vers une carriere de journaliste , il effectue ses premieres armes dans le journal local tout en poursuivant ses etudes par correspondances .
Il entretient alors une relation serieuse avec une jeune femme nommée rose crafter .
Archibald à alors tout pour etre heureux , il a un metier qu’il aime , une femme qu’il est prêt à epouser .
Lorsque les usa s’engagent en guerre en 1917 il decide de s’enroler y voyant une oportunité pour sa carriere de journaliste et d’enfin decouvrir le monde .
Sur place il decouvre ce qu'est le mot enfer , blessé dans le souffle d'une explosion , la seule chose dont il se souvienne c'est son corps desarticulé gisant dans une fosse d'eau croupie , puis s'ensuivit un coma de plusieurs mois .
Une fois la guerre finie il s’exile à new york et ne reprit pas contact avec sa famille , il vivote alors en travaillant comme freelance pour differents journaux , depuis son retour de guerre chaque nuit il est pris de violents cauchemars , se reveillant en hurlant et trempé de sueurs .
Redoutant de s’endormir il sombre dans l’alcoolisme , n’hesitant pas parfois à avoir recours à l’opium .
Manquant d’argent il n’hesite pas quelquefois à accepter des boulots douteux , malgres cela il reste un excellent journaliste sous ses airs négligés. |
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Phileas
le 01.02.2004
à 17:23 | Pour les liens possibles , Archibal a pu avoir besoin des services de Maired pour se procurer l'adresse de quelques bonnes maisons vendant de l'opium ou bien avoir servie d'intermediaire entre un client voulant qu'un boulot special soit fait ou encore etre source de renseignements .
Quand à Allan Carpenter ou Peter Watson , nos chemins ont pu se croiser lors d'une enquete .. |
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Dudley
SMITH
le 03.02.2004
à 09:14 | Dudley est un homme imposant. Il le doit d'abord à sa carrure, il est de forte constitution, mais aussi à son air patibulaire acquis avec les années de travail passées dans la rue.
Car Dudley a été flic pendant 17 ans, d'abord en uniforme, puis à la criminelle du NYPD. Un vrai flic, pas un de ces ronds de cuirs bureaucrates qui croient qu'une affaire d'homicide se règle sur des feuilles de papier.
Il a donc une forte connaissance du milieu de la pègre New Yorkaise. Mais des années de fréquentation ont raboté peu à peu sa conscience professionnelle et il est devenu un flic véreux, un vendu menant ses affaires sous le couvert de sa plaque et de sa matraque. Les résultats étaient toujours présents, mais il a rapidement froissé des susceptibilités en haut lieux. Les petits trafics qu'il conduisait dans la rue (lire racket, entraves à enquêtes, irrégularités diverses) ont fini par être trop voyants et Dudley a perdu la couverture de son supérieur.
Il s'est fait vidé de la police, a passé quelques mois dans un brouillard d'alcool presque constant et a fini par remonter légèrement la pente.
Il vient de décrocher une licence de détective privé il y a peu et bosse à présent chez Carpenter.
Dudley a quand même un autre problème, il doit un "service" à un parrain de la pègre new-yorkaise, qui ne le lachera pas. |
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Dudley
SMITH
le 03.02.2004
à 09:23 | A propos des relations avec les autres joueurs, je vois que nous avons un groupe plutôt homogène !
Smith bosse depuis peu chez Carpenter.
Il a pu connaitre l'irlandaise O'flaherty lors de quelques unes de ses enquêtes.
Concernant Watson, je le connais, et lui aussi... |
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Isatis
le 03.02.2004
à 20:12 | J'te connais bien Smith, t'es encore plus tordu que moi! Enfin bon, la dernière fois que tu as essayé de me raquetter tu a failli perdre ta virilité (ça fait mal un genou...).
Allan lui au moins est un vrai gentleman, j'espère qu'il va t'apprendre les bonnes manières.
Je ne t'en veux pas trop, on essaye tous de survivre comme on peut.
Quant a Archibald, je t'ai déja vu trainer ta carcasse dans mon quartier. Si tu cherches de la marchandise j'ai toujours de bonnes adresses... |
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Allan
CARPENTER.
le 04.02.2004
à 15:16 | bon, au final et après des tractations à n'en plus finir, Monsieur Smith integre comme convenu mon agence.Son flair, ainsi que ses contacts, devraient largement contrebalancer son foutu penchant. |
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Lorenzo
le 09.02.2004
à 21:42 | Peter connait bien Dudley Smith pour avoir participé à sa chute lors du grand ménage au NYPD. Il a aussi un très bon souvenir de Mairead qui l'a souvent tuyauté, lors de sa première affectation à New-York. Quant aux autres, il a les peut être déjà croisé, mais il n'en a pas de souvenir précis. |
 
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