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J'en veux...
Petits petits...

Ce rituel récité en russe fonctionne de la même façon que le sortilège Appeler Shub-Niggurath, mais il entraîne une conséquence supplémentaire. Il fait venir la divinité de la manière habituelle, puis il la persuade de dévorer, de mettre en gestation et de faire renaître l'invocateur sous la forme d'un Gof'nn Hupadgh, un Béni de Shub-Niggurath.

La transformation confère à son récipiendaire immortalité et puissance, en même temps qu'un désir brûlant de servir sa nouvelle Mère/Amante jusqu'à son dernier souffle. Il a également pour conséquences des modifications physiques et psychologiques.

Utilisation
Avant la cérémonie, cette rencontre entre la Magna Mater et son suppliant est perçue comme une sorte d'union sexuelle ou de saint sacrement. A ce stade le lanceur du sortilège ignore encore qu'il sera en fait englouti par l'utérus de la divinité !

Il faut ajouter que la Magna Mater n'est ni une belle humaine, ni une déesse de la fertilité. Lorsque l'officiant découvre la nature réelle de l'horreur qu'il a appelée, il est déjà trop tard. Une fois que la Déesse apparaît, elle ne part pas avant que tous les assistants présents aient pris place dans la chaleur de son utérus...
Composants : Un lanceur de sort un peu crédule ou fanatique.
Quelques participants supplémentaires sont toujours les bienvenus.
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