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Paris, Années Folles (documentaire colorisé) | ||
7tigersle 27.05.2014 | Une parenthèse enchantée que le documentaire restitue brillamment. Cette époque unique en son genre s’achèvera dix ans plus tard, en 1929, avec le krach boursier américain. Même si la crise ne toucha l’Europe que deux ou trois ans plus tard, les Américains sont repartis en catastrophe dans leur pays. Et l’argent avec eux. En l’espace d’une semaine, les Années folles étaient finies. Tout en archives colorisées et sonorisées, le film documentaire "Paris, années folles" (2013) de Fabien Beziat dure 84 minutes. Visible ici: http://nemesistv.info/video/5Y5MGYYW81BH/paris-annees-folles# | |
Vonvle 27.05.2014 | ||
Virtuaseble 28.05.2014 | Très bon, à regarder ! | |
Crapulele 28.05.2014 | Très bon documentaire en effet. | |
Aziraphalele 29.05.2014 | Cthulhu noster qui es in maaribus | |
7tigersle 29.05.2014 | Faire un TOC sur Google avec Paris, Années Folles Spikie... «Jamais Paris ne fut autant une fête que dans les années 1920. Une incroyable fête, à laquelle le monde entier vint participer, dans un élan vital qui ne voulait qu’une chose: effacer quatre années d’horreur. Décadentes, excentriques, les Années Folles ne sont que dix petites années, mais ce très beau documentaire rend compte de leur exceptionnelle densité, en nous entraînant des terrasses de Montparnasse aux clubs de jazz de la butte Montmartre dans un tourbillon réjouissant. Coco Chanel, les arts déco, la coupe à la garçonne, les courses de garçons de café, Gertrude Stein et la «génération perdue», la «Rotonde» et la «Coupole», Man Ray et Kiki de Montparnasse, les «dirty french novels», les surréalistes… L’avant-garde, mais aussi l’émancipation des femmes, la libération sexuelle, le racisme ordinaire, la résistance de la France conservatrice: lu par Laurent Stocker, le récit mêle habilement les thèmes jusqu’au krach de 1929. Et le tout, en couleurs. Mis à part les œuvres d’art et celles dont les ayant-droits ont refusé, toutes les archives ont été colorisées. A la colorisation, réalisée en Inde et aux Etats-Unis, explique Fabien Bézat, s’est ajouté un autre «travail gigantesque»: la sonorisation, puisqu’à l’origine, tous ces films sont muets, le son n’arrivant au cinéma qu’en 1927, et la composition originale de la musique. Mais le plus difficile aura été, en amont, de raconter, à partir «d’une très grande masse d’archives», dont certaines sont rares, «dix années "folles" avec en parallèle un gros socle politique, explique Fabien Bézat. Car cette décennie, ce n’est pas que les gens qui s’amusent à Montparnasse.» | |
Zoogle 28.07.2014 | merci pour ça in rerum supernatura ! | |